« Cette table ronde technique n’est pas seulement un espace d’échange d’idées, mais un pas ferme vers la création d’outils et de protocoles qui garantissent une attention opportune, respectueuse et spécialisée aux victimes d’agressions sexuelles, renforçant ainsi la réponse du système judiciaire et de santé à la violence sexuelle. Nous voudrions également remercier le soutien de la Mission internationale de justice et de la communauté des droits de l’homme qui ont contribué à la réalisation de l’événement », a déclaré Mme Rocha.
L’un des principaux accords conclus lors de cette table ronde technique a été la nécessité de renforcer la coordination interinstitutionnelle afin d’améliorer les soins médicaux, psychologiques et médico-légaux apportés aux victimes. L’importance d’optimiser les processus d’évaluation médico-légale a également été soulignée, ainsi que la formation continue du personnel de santé pour garantir un traitement adéquat des cas, toujours dans le respect des droits des victimes et de l’approche de genre.
Au cours de l’activité, des institutions telles que le ministère de la santé, IPAS Bolivie, Autoridad de Supervisión de la Seguridad Social de Corto Plazo (ASUSS), Fundación Sepamos, Misión Internacional de Justicia, l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC), Fundación Levántate Mujer, Defensor del Pueblo, World Vision Bolivie, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), le Réseau national des services de santé CIES, la Fondation Save the Children, la Fondation Munasim Kullakita et GSN Fénix Bolivie, qui ont contribué à l’enrichissement du dialogue et à l’élaboration de stratégies visant à optimiser la réponse du secteur de la santé à ces cas.